«La prise en compte de la dimension émotionnelle reste incontournable pour appréhender les réactions des individus confrontés à un état permanent de changements organisationnels, notamment à des PSE. » Delphine François-Philip de Saint Julien, Enseignante-chercheure en ressources humaines
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Avec 548 Plan de sauvegarde de l’emploi validés ou homologués en 2020 (soit 23,4% de hausse au troisième et 33,6 % au 4e trimestre), la crise économique liée au Covid a remis au centre du débat cet accompagnement de transition de carrière.
Delphine François-Philip de Saint Julien présente dans cet article les trois profils de « survivants » d’un PSE, entendu comme les salariés restant dans leur entreprise après un plan de sauvegarde de l’emploi.
Selon l’enseignante-chercheure en ressources humaines il y aurait les « survivants convaincus » qui voient surtout dans le PSE une opportunité professionnelle et/ou personnelle. Les « soumis » qui analysent le PSE comme un fait inéluctable. Dernière typologie, les « ambivalents » qui demeurent indécis, perplexes, voire perdus, quant à leur opinion vis-à-vis du PSE.
En prenant en compte l’existence de ces trois profils, l’enjeu pour l’entreprise est de réussir à créer une dynamique autour des « convaincus » et des « ambivalents », afin que la restructuration devienne et soit considérée comme une opportunité organisationnelle et professionnelle pour les parties prenantes.
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